Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 27

Instinctivement, la gamine se recroqueville sur elle-même, la main droite dégoulinante de mouille se plaque sur ses seins, alors qu’elle cache son pubis imberbe de la main gauche. « Bien pensé ma fille ! » se dit-elle en réalisant que ses mains n’offrait guère plus de protection face au groupe d’hommes que l’immatérielle vapeur d’eau.



Elle se plaque contre le coin à gauche de la pièce, le plus loin possible des voix qu’elle discerne brièvement dans l’obscurité claire.



De son côté, Alain, le « beau gosse » de la bande, moustachu, le cheveux noir de jais et la barbe hirsute de trois jours, navigue à l’aveugle, lui aussi cherchant à s’éloigner le plus possible de ses lourdingues de compagnons.



À tâtons, les mains devant lui, à moitié accroupi pour éviter de se cogner le pied contre le banc couvert de carreaux de céramique rose et blanche, le moustachu baraqué par des années de travail à la dur sur les chantiers, et la bedaine naissante de ses 38 ans révolus, s’aventure à l’aveugle avançant droit en direction d’Élodie.



L’adolescente, quant à elle, tourne toute son attention vers les bruits au centre de la salle. Elle espère les entendre se diriger vers le fond de la pièce, libérant ainsi le chemin vers la sortie. Elle a 50 % de chance que les inconnus se dirigent vers l’autre côté du banc, dans ce cas, elle peut leur échapper sans même qu’il ne sachent qu’elle était là.



Dans le pire des cas, elle envisage de les contourner en silence, si jamais ils venaient à s’aventurer dans sa direction, profitant ainsi de la couverture de la vapeur. C’est alors qu’une ombre se dessine juste devant elle, et qu’une main caleuse glisse soudainement sur sa cuisse gauche.



-Mais qu’est ce que …. ? Alain, tout d’abord surpris de sentir la douce peau satinée de la jeune fille, s’écrie alors : AÏEUUUUXXX ! Putain d’merde !

-Eh ben mon vieux qu’est ce qu’y t’arrive ? S’inquiète Marco.



-Nan c’est rien, j’me suis cogné l’tibia contre ce putain de banc !



Les trois comparses éclatent de rire alors que leur collègue moustachu a tôt fait de recouvrir la bouche de la gamine devant lui, avant de lui glisser à l’oreille :



-Pas un cri, pas un geste ! Sinon c’est à quatre qu’on s’occupe de toi ! Compris ?



***



Alain glisse sa main droite le long de la cuisse de la gamine qui opine du chef, la bouche bâillonnée de la main gauche du maçon. Sa main droite, implacable, écarte doucement les cuisses juvéniles, puis remonte en douceur jusqu’à l’entrejambe ouverte.



Élodie, pas encore entièrement calmée de la tension sexuelle qui l’habite depuis qu’elle a sucé Serge dans le salon familial, sent son cœur taper dans ses tempes. Le feu qui sommeille en elle depuis les caresses expertes de Mr. Jean, son voisin, se réveille lentement lorsqu’elle sent les doigts musclés du maçon frôler ses muqueuses vaginales encore gorgées de sang, de mouille et de désir pour une bonne grosse queue.



Alain plante ses gros doigts entre les lèvres écloses de la belle brunette, et souffle dans son cou tendu. La jeune fille est à la fois stressée et complètement excitée par les attouchements de cet inconnu dont elle discerne à peine le visage.



Les poils drus de sa barbe grattent contre les veines palpitantes de son cou offert. Le souffle chaud de désir du trentenaire glisse sur sa peau trempée de sueur :



-Dis moi petite salope, t’es déjà toute trempée ? On dirait que t’as besoin d’une bonne bite toi !



Élodie sent presque le sourire pervers d’Alain se dessiner sous sa grosse moustache, puis ses gros doigts pénètrent inexorablement dans sa chatte gluante et chaude de désir.



-HUN …. Elle pousse un petit cri étouffé entre ses lèvres pincées.


-Ouais c’est ça ! T’es qu’une petite salope qui vient bouffer de la bite au hammam !



FOUIC …. FOUIC ….. FOUIC ….



Les vas et vient lents et profonds réveillent les désirs et les instincts sexuels de l’adolescente. Elle se cambre doucement sous les caresses du maçon, et enfouit son visage dans le cou musclé de son mâle pour ses gémissements de plaisir.

***



Les deux doigts glissent sans aucune résistance et déclenchent de nouvelles vagues de plaisir dans le creux de son ventre plat parcouru de spasmes. La torpeur se propage le long de sa colonne vertébrale et sa peau douce se couvre de frissons malgré la chaleur humide qui envahit la salle rose.



Élodie plante ses ongles dans le dos musclé de son mâle, elle le griffe lorsqu’il se met à lui masser l’intérieur du vagin. Il a trouvé la boursouflure de la paroi vaginale qui déclenche un début d’orgasme incontrôlable :



-HUN ….. Elle est sur le point de crier, et mord l’épaule d’Alain ….

-HUMPH …. P’tite salope, tiens prend ça …. FOUIC FOUIC FOUIC ….



Il accélère alors les allers et retours entre les muqueuses de la petite chienne qu’il vient de découvrir.



-HUUUUUUUMMMMMM …..



Élodie se cambre instantanément sous la pression de ne pas se faire découvrir par les potes du moustachu, alors que cet enfoiré lui branle le point G comme un expert.



***



La petite brunette contracte sans contrôle son périnée et éjacule comme jamais des giclées de cyprine sur la paume qui claque contre son clitoris tout gonflé. Essoufflée, elle croise ses cuisses pour emprisonner la main qui lui procure son premier vrai orgasme de la journée.



Elle se relâche légèrement et le moustachu se redresse dans le nuage, positionnant son bassin à hauteur du visage poupon.
Les yeux dans le vagues, Élodie glisse ses mains sur les grosses cuisses poilues de footballeur, elle dessine le contour des muscles tendus, jusqu’à la base de la serviette en coton.



Gourmande, les yeux mi-clos, uniquement guidée par son excitation, la gamine plaque sa petite main sous la serviette et la remonte jusqu’au nœud qui l’immobilise autour de la taille légèrement bedonnante.



Taquine, elle mordille le nœud pour le relâcher et faire tomber la serviette au sol. C’est à l’aveugle qu’elle plaque ses lèvres charnues sur la peau lisse du haut de cuisse, et qu’elle embrasse avec douceur le bassin de l’inconnu qui vient juste de la faire jouir.



Ses petits baisers gourmands se recentre au milieu du bassin découvert, elle sent les longs poils lui chatouiller les lèvres et le nez alors que sa main droite entre une première fois en contact avec le sexe trapu et tendu du moustachu.



Elle encercle la base du pénis large aux grosses burnes gonflées, entre son pouce et son index. L’adolescente embrasse alors les burnes tendues sous la peau épaisse et toute lisse. « HUM de grosses couilles toutes lisses ! » Elle les aspire l’une après l’autre sans pouvoir les gober toutes les deux.



Délaissant les grosse burnes, elle plaque ses lèvres humides sur la base de la verge large et complètement bandée. Élodie remonte alors lentement le long du vît de chair tendu et couvert de veines pulsantes sous la pression de la petite main qui lui enserre toujours la base.



La gamine alterne entre baiser des lèvres et léchouilles du bout de la langue pour déclencher des râles de plaisir chez son mâles bien membré. Sa main libre glisse le long de la peau épaisse du membre tendu et le branle lentement tout en lui embrassant et en lui léchant la queue.



Lorsque ses lèvres charnues atteignent la base du frein, elle aspire son gland du bout des lèvres et lui titille le frein du bout de la langue tendue, alors que sa main libre le branle sur toute la longueur.




-HUM …. Petite salope ! Tu sais t’y prendre dit moi !

SLURP SLURP SLURP ….



Elle libère le gland et le lèche de sa langue bien humidifiée tout en le branlant de long et doux vas et vient du « O » de son index et de son pouce autour de la large bite.



***



Alain empoigne la tignasse de la gamine pour se libérer de la pression qui monte dans son sexe tendu sous les caresses expertes de la jeune fille. Il lui tire le visage en arrière et lui claque une pelle baveuse lèvre contre lèvre. Élodie sent la moustache lui chatouiller le nez et la langue baveuse de l’inconnu s’engouffre entre ses lèvres charnues.



-Eh ben alors ? Tu parles tout seul vieux ? Marco interrompt son pote sans savoir qu’il est en train de se taper une gamine en chaleur dans la discrétion du nuage de vapeur.



Élodie sent alors son sang bouillonner comme jamais, « Vas-y reste dans connard ! Et laisse Alain s’occuper d’mon cul ! » Est-ce que Alain va faire venir ses potes pour l’offrir à leur virilité brutale ?



-Fait pas chier Marco ! Lâchez moi un peu les burnes putain !



L’adolescente est soulagée, elle ne va pas avoir à satisfaire tous ces porcs, elle va pouvoir profiter de la dextérité du moustachu, s’il la baise aussi bien qu’il vient de la doigter ….



Il la tire soudain par les cheveux et s’assoit devant elle en l’attirant vers le bas, accroupie entre ses cuisses, pour lui chuchoter :



-Viens ici p’tite chienne !



Et il engouffre sa grosse queue entre les lèvres, l’étouffant à moitié. C’est lorsqu’elle perçoit la présence des trois autres lascars derrière elle, qu’elle est soulagée d’être accroupie aux pieds du maçon :



-Eh vas y mec ! T’excite pas non plus, on va là bas avec les autres, rejoint nous quand t’es calmé !



Alain force Élodie à le sucer en profondeur pendant qu’il discute avec son collègue. La jeune fille n’en revient pas du calme dont il fait preuve, sa suceuse à peine cachée à ses pieds.



CLAC …. Ils se checkent au-dessus de la tête pouponne qui le pompe avec ardeur.

-T’inquiète mec ! J’ai juste besoin d’un peu de calme, le chef a pas arrêter de me faire chier !



À plusieurs reprises, la gamine qui s’amuse à pomper son maçon avec adresse et talent, sent Marco la frôler. Le tibia qui passe à un poil de cul de son derrière tendu, la main qui frôle le haut de son crâne alors qu’elle enfourne le large bout de viande tendu.



Ce n’est que lorsque Marco s’éloigne, qu’elle sent le gros gland gonfler sur sa langue. Elle a envie de goûter sa jute épaisse, mais elle veut aussi le sentir en elle, qu’il la baise, qu’il l’encule en présence de ses collègues. Et apparemment, Alain veut la même chose, puisqu’il la démanche de son calibre, au bord de l’explosion.



-Viens là p’tite pute !



Il l’attire à lui et lui fait faire demi tour avant de la faire se cambrer en avant pour enfoncer son visage hirsute entre ses fesses joufflues. Cassée en deux, le cul tendu en arrière, à la merci de la bouche experte qui lui bouffe la chatte et le trou du cul.



La gamine, cambrée devant Alain, se masse les seins et les tétons alors que le maçon lui fouille les trous de sa langue agile, les mains musclées et charnues plaquées sur le cul à lui masser les fesses.



***



Élodie soupire de plaisir sous les coups de langues aventuriers, son excitation la fait frémir elle se pince les mamelons humides et s’amuse à les tordre avec volupté en synchronisant les pincements de ses doigts avec les vagues de chaleur qui se propagent dans son corps cambré.



Une sensation de vide se fait dans son cul lorsque Alain lui libère les trous de ses talents buccaux. Mais cette impression disparaît lorsqu’il l’attire à lui les mains plaquées sur son bassin cambré.



Il l’assoit sur lui, sa queue bandée plantée entre ses lobes fessiers. Il glisse sa main droite entre les cuisses de la gamine tout en lui massant le sein gauche de sa main libre. Élodie est en extase, elle sent la grosse bite tendue glisser entre ses lobes fessiers toute en étant offerte à son mâle.



***



L’adolescente n’en revient pas, assise sur les cuisses de cet inconnu, littéralement à deux pas du trio d’ouvriers, tout juste cachée de leur regard par l’épais brouillard humide, et complètement excitée par les mains qui lui caresse l’intimité huileuse et ses gros seins aux tétons tendus et ultra sensibles.



Elle ondule doucement du bassin, les reins cambrés contre son maçon, elle se donne à la caresse de ses mains, les yeux mi-clos, le soupir haletant, les pieds cambrés plantés dans le sol carrelé.



La verge tendue entre ses lobes fessiers l’excitent comme une folle. Sa vulve regorgeant de plaisir est aux abois, elle plaque son dos nu contre le torse large et velu de ce mâle aux mains expertes.



Elle passe sa main gauche au dessus de l’épaule de son homme et lui caresse l’épaule en lui soupirant à l’oreille :



-Baise moi !



***



Il n’en faut pas plus au trentenaire, Élodie le sent dans son dos, elle sourit, il vérifie qu’ils sont toujours isolés du reste du groupe. Alain glisse ses mains le long des reins cambrés de la gamine, elle suit le mouvement et se penche en avant pour lui offrir son arrière train.



Le maçon à la bite en feu, il se crispe pour retenir une explosion imminente, la vulve gluante glisse le long de sa grosse tige tendue. Élodie est toute excitée elle aussi, les frétillements du morceau de chair entre ses fesses, la proximité des collègues de son mâle, la tension sexuelle qui gronde en elle depuis ce matin déclenchent toute une série de pulsions taquines.



Ses lèvres ouvertes et encore dégoulinante de mouille chaude glissent le long de la queue tendue. Le bassin incliné, elle masse son gros clito gorgé de sang sur la peau striée de veines épaisses. Elle glisse sa main entre les cuisses entrouvertes et s’amuse avec les bourses gonflées de son amant.



-HUMPH …. Alain a beaucoup de mal à contenir ses grognements de plaisir.



Lorsqu’elle sent la tête de la queue s’insinuer entre les babines gonflées de sa chatte, Élodie soulève lentement, si lentement son bassin prêt à exploser de plaisir. Le gland frétillant et perlant de liquide pré séminal écarte les muqueuses en feu de la belle.



-HUM …. Oui, vas y ! Empale moi salaud ! Lui susurre t’elle le dos plaqué sur le torse musclé et poilu.



Alain plaque ses mains de chaque côté des hanches de la petite pute, et appuie doucement mais fermement pour la guider le long de son chibre.



Élodie se mord les lèvres pour ne pas attirer l’attention du trio qui ricane à quelques mètres du couple. Elle glisse librement, s’empalant en profondeur sur l’épaisse bite tendue et gonflée dans ses entrailles en fusion.



Le moustachu embrasse la nuque de la belle, qui gémit doucement en sentant le piquant de la barbe hirsute sur la peau douce de son cou tendu en arrière. Elle se cambre de plaisir lorsque les mains charnues lui caressent le ventre puis remontent pour lui empoigner les seins.



Il lui malaxe les nichons, pince et étire ses mamelons tendus tout en ondulant du bassin pour coulisser en profondeur dans la chatte toute serrée de la gamine. Élodie monte et descend pour mieux s’empaler sur son amant bestial et puissamment musclé. Ses cuisses commencent à la brûler à force de se trémousser sur l’épaisse queue.



La main droite d’Alain lui bloque le bassin et il lui mord doucement la nuque, l’oreille, déclenchant de nouveau l’extase de la brunette qui coulisse sur sa queue. Sa main libre se referme alors sur la gorge tendue au- dessus de lui et il l’étrangle de sa poigne puissante en ondulant du bassin pour la posséder en profondeur.



La chaleur suffocante liée au manque soudain d’air dans ses poumons, la gamine à les sens aux abois. Elle ne perçoit même plus le danger du trio pourtant si proche. Elle n’est plus que concentrée sur la privation d’air qui décuple les sensations de toucher des mains puissantes et de la barbe hirsute sur sa peau sensible.



Le moindre souffle sur sa nuque déclenche une nouvelle vague de frisson d’extase. Son corps convulse avec volupté et ses muqueuses se crispent et se relâchent autour du vît de chair coulissant en elle. Il relâche la pression, et une bouffée d’air chaud et humide s’engouffre péniblement dans ses poumons brûlants.



Elle gonfle sa poitrine, tend ses gros seins aux tétons bandés, qu’elle att à pleines mains pour se les pincer alors que Alain resserre à nouveau sa poigne de fer autour de la nuque fragile de la gamine en pleine extase autour de son sexe.



Il est au bord de l’explosion et crispe son périnée pour se retenir d’exploser. Les dents serrées, il profite pleinement des convulsions vaginales autour de son pieu. La petite se pince le sein gauche et griffe violemment la cuisse droite de son amant.



En manque d’air, elle hurle sa jouissance d’un cri étouffé et explose d’une éjaculation de cyprine chaude au pied du barbu portugais. Il relâche la pression sur la fine gorge, et Élodie s’effondre sur lui encore empalée sur sa queue à deux doigts d’exploser en elle.



L’adolescente reprend doucement ses esprits, les bruits autour d’elle se précisent, elle aperçoit Marco s’approcher d’eux dans la vapeur. En fait les trois ouvriers s’approchent de leur collègue. Complètement paniquée elle supplie son amant :



-Laissez moi partir, s’il vous plaît ! Lui chuchote t’elle à l’oreille.

-Pas encore p’tite pute ! L’entend t’elle souffler entre ses dents.



Paniquée mais un peu exciter à la fois, le cerveau toujours inondé d’hormones, elle le laisse la guider à genou au dessus de ses cuisses puissantes. Il ne perd pas de temps et se plante immédiatement en elle, en lui tirant les cheveux en arrière, sa grosse poitrine pointant contre le torse puissant de l’exhibitionniste.



HUUUUN …. Elle étouffe un long gémissement sourd, qu’il camoufle d’une toux puissante.

-HUM HUM …. La quinte de toux fait frétiller la queue en elle, le gland gonfle dans ses entrailles, la petite est en pleine extase.



-Bon qu’est ce que tu nous fait vieux ? Tu t’branles ou quoi ?

-Oh ta gueule putain ! HUN …. HUN ….



Alors qu’il répond à Marco, il continue de baiser la gamine à genou en face de lui. Un frisson parcourt la jeune fille lorsqu’elle sent les doigts de Marco lui frôler le mollet gauche. Alain n’en a que faire, il apprécie la légère crispation autour de sa queue. Il malaxe les fesses de la jeune fille tout en la maintenant cabrée au dessus de lui en lui tirant violemment les cheveux en arrière.



HUMPH …. Huuuunnnnn ! Il vient de lui planter un majeur épais dans le cul !



Devant le danger de la présence plus soutenue de ses collègues, Alain ondule de plus en plus fort du bassin, plantant sa grosse queue au plus profond de la chatte. Élodie est de nouveau sur le point de jouir sous l’effet de la double pénétration de cet étalon très adroit.



Elle halète de plus en plus, rendant très compliquées les ruses du moustachu pour cacher la baise de la gamine à ses potes. Les frétillements du gland tuméfié au plus profond de sa vulve en chaleur, déclenchent de nouvelles vagues de plaisir qui explose par à coups fulgurant dans le ventre tendu de la jeune fille qui a de plus en plus de mal à contenir sa jouissance.



Lorsque le portugais explose enfin dans ses entrailles, Élodie jouit une troisième fois, le ventre inondé de sperme chaud et gluant. Sa mouille explose dans des odeurs métalliques, sa cyprine éclaboussant sur le ventre velu de son amant.



Elle a à peine le temps de se remettre de son extase que Alain la désarçonne et l’attire à genou entre ses cuisses, le visage poupon au niveau de sa queue encore tendue et couverte d’un mélange de sperme et de mouille.



À genou aux pieds de son amant, elle att la queue mollissante et gluante de sa main gauche et lui nettoie le sexe en le gobant entre ses lèvres charnues et gourmandes. Il était moins une, en cherchant du regard le visage du moustachu, elle aperçoit la silhouette épaisse de Marco qui a passé son bras puissant sur les épaules de son amis pour lui faire une accolade amicale en portugais.



Élodie ne sait plus quoi penser, est-ce qu’il va tenir sa parole ou va-t’il la livrer à ses potes ? Et lorsque le maçon libère sa douce chevelure, la gamine ne perd pas de temps et s’éclipse en silence pour récupérer ses affaires et se tirer en vitesse, la chatte enfin soulagée et pleine de la jute épaisse de cet amant très doué.



***



Élodie s’éclipse en douce de la salle rose et couvre rapidement sa poitrine avec la mini serviette avant de se rendre dans la salle des douches, nue et tout juste couverte de l’avant. Dans sa précipitation, elle ne prend même pas la peine de vérifier la présence ou non de personnes dans le long couloir qui dessert les différentes pièces des bains.



C’est sans encombre qu’elle entre dans la pièce vide et qu’elle occupe la cabine du coin au fond. Lorsque par réflexe elle veut refermer le rideau de la cabine de douche, elle est surprise de constater qu’aucune des cabines n’offre la moindre vie privée. « Putain, faut pas que je traîne trop ! »



Comme à son habitude, l’adolescente fait face au jet d’eau bouillante qui détend instantanément ses muscles encore un peu sous tension après la journée compliquée qu’elle vient de passer.



Élodie se savonne abondamment et apprécie la douceur de la crème qu’elle étale sur son corps à pleines mains. Les yeux fermés, elle prend un peu son temps à caresser sa peau douce sous ses doigts habiles puis elle remonte le long de son ventre plat, masse ses seins encore sensibles puis passe ses doigts félins sur sa nuque avant de masser sa longue crinière détendue.



Alors qu’elle prend goût aux odeurs d’amande douce et que ses doigts s’éternisent à masser son cuir chevelu, la jeune brunette est surprise de sentir une paire de mains puissantes et douces lui masser la poitrine :



-Eh bien quelle jolie surprise ! Le souffle de la voix inconnue dans sa nuque la surprend autant qu’elle la chauffe.



Les papillons somnolents de son ventre se réveillent soudain et sa douce vulve encore ouverte des assauts d’Alain s’humidifie au contact des mains lui massant les seins gonflés en douceur.

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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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